– A – Agriculture et agriculteurs En bref… L’agriculture est un domaine important pour la France qui emploie beaucoup de personnes. Le pays se situe parmi les premiers producteurs d’Europe. Les divers climats et sols de la France permettent d’avoir des productions diversifiées céréales, élevage, vignes… L’agriculture se pratique de manière très différente selon les exploitants, chacun développe son activité par des moyens divers agriculture biologique, conventionnelle, agro-tourisme… Après un changement radical dans les 60 dernières années, les agriculteurs doivent faire face à de nouveaux défis aujourd’hui. Le changement climatique impacte beaucoup ce milieu. Il faudra pouvoir l’atténuer et s’y adapter, notamment par des pratiques plus vertueuses et par des modes de commercialisation différents, favorisant les produits locaux et de saison. — Télécharger la bande dessinée introduisant le thème — Télécharger la fiche thème — Pour les activités Les cartes du thème Les fiches activité A1 – Comment imaginez-vous une ferme et un agriculteur ?A1 – Défis et créativitéA2 – Comment vous représentez-vous l’agriculture ?A2 – Défis et créativitéA3 – Si vous étiez agriculteur, qu’est-ce que vous aimeriez produire ?A3 – Défis et créativitéA4 – Savez-vous ce que sont un élevage et une culture ?A4 – Défis et créativitéA5 – Quels animaux trouve-t-on dans une ferme ?A5 – Défis et créativitéA6 – Quelles compétences sont nécessaires pour être agriculteur ?A6 – Rencontres et enquêtesA7 – Et si vous alliez à la rencontre d’un agriculteur ?A7 – Rencontres et enquêtesA8 – Connaissez-vous les différents métiers des filières agricoles et alimentaires ?A8 – SavoirsA9 – A votre avis, pourrait-on se passer des agriculteurs ?A9 – Défis et créativitéA10 – Si vous étiez agriculteur, choisiriez-vous l’agriculture conventionnelle, raisonnée ou biologique ?A10 – SavoirsA11 – Savez-vous ce que signifient les numéros que l’on peut lire sur les oeufs ?A11 – SavoirsA12 – Racontez-nous une histoire autour de l’agriculture !A12 – Défis et créativitéA13 – Quelle est l’actualité agricole de votre région ?A13 – Défis et créativité — Pour aller plus loin Ressources pour l’animateur Ressources pour les enfants Agreste Statistiques agricolesVidéo – C’est pas sorcier L’agriculture biologiqueAgriculture PaysanneLe p’tit LibéRéseau Civam définition d’agriculture durableVikidia définition d’agriculture intensiveOnisep Kit pédagogique “Découvrir le monde agricole” collège/lycéeAtlas de l’élevage herbivore en France, Editions Autrement. Extraits disponibles gratuitement sur informations sur les métiers de d’agro alimentaire
Cest pas sorcier, le magazine de la découverte et de la science. C'est pas sorcier s'attaque à la science du goût. Sabine et Jamy sont partis à la rencontre de Thierry Marx et de son équipe. Nous découvrons avec eux comment ce grand chef, qui est capable de passer une anguille à l'IRM pour en détecter les nerfs inopportuns, ou de s'intéresser aux nanotechnologies pour améliorer sesil y a 12 ansTemps de lecture 1 minuteCe dimanche, sur M6 lors de l’émission “Capital ” sera abordé le thème de la filière viande. Alimentaire les filières de la viande pas chère Côte de boeuf, rumsteck, bavette… À près de 25 euros le kilo, ces pièces de boeuf sont devenues un luxe pour les consommateurs. Il faut dire qu’en boucherie ou en grande distribution leur prix a explosé, augmentant de 40% en 10 ans. Pourtant aujourd’hui, il existe des filières pour payer moins cher sa viande. Car de plus en plus d’éleveurs vendent directement aux consommateurs, sans intermédiaires. Comment s’y prennent-ils ? Est-ce vraiment un bon plan pour le client ?Ce thème sera abordé au cours de l’émission intitulée Emploi, qualité de vie améliorer son quotidien, c’est possibleCapital, M6, dimanche 23 janvier 2011, 20h45. Gilbert Lacampagne « Viandes et Signes de Qualité : C’est pas Sorcier! » consiste donc en une mini-série éducative avec des ambassadeurs reconnus et légitimes : les animateurs de C’est pas Sorcier (Fred, Jamy et Sabine), mis en situation au sein de 7 épisodes visualisables donc sur le site qualitivi.com. Chaque film s’attache à informer le grand public des garanties apportées l'essentiel Les produits à base de protéines végétales ne pourront bientôt plus être appelés "steak", "lardons" ou encore "saucisse", selon un décret paru au Journal Officiel jeudi, très attendu et salué par les filières animales. "Il ne sera pas possible d'utiliser la terminologie propre aux secteurs traditionnellement associés à la viande et au poisson pour désigner des produits n'appartenant pas au règne animal", indique un décret paru au Journal Officiel jeudi 30 juin. Le texte, qui entrera en vigueur le 1er octobre 2022, permet toutefois la commercialisation des "denrées fabriquées ou étiquetées" avant cette date jusqu'au 31 décembre 2023 au plus tard. Un décret salué par les filières animales Le texte était attendu "depuis plusieurs années" et constitue "une étape essentielle en faveur de la transparence de l'information au consommateur ainsi que de la préservation de nos produits et savoir-faire", s'est félicité Jean-François Guihard, président d'Interbev, l'association interprofessionnelle du bétail et des viandes. De la Fédération nationale des syndicats d'exploitants agricoles FNSEA aux professionnels de la volaille, tous les grands syndicats des filières animales saluent ce texte, mais demandent au gouvernement de "porter le dossier à Bruxelles afin d'élargir le périmètre d'application à tous les produits, quelle que soit leur origine", selon un communiqué commun. Le décret publié précise en effet que les produits "légalement fabriqués ou commercialisés dans un autre État membre de l'Union européenne ou en Turquie, ou légalement fabriqués dans un autre État partie à l'accord sur l'Espace économique européen, ne sont pas soumis aux exigences du présent décret". Une position "à contre-courant des enjeux actuels" Les professionnels de la filière porcine considèrent que ce décret n'est qu'une "première étape de protection des dénominations traditionnelles de recettes à base de viande" en France et qu'il sera nécessaire "d'élargir cette mesure au niveau européen". L'interprofession porcine estime en outre que la loi doit également "protéger les dénominations animales par rapport aux aliments artificiels de synthèse", soit les "viandes" dites de "laboratoire", obtenues par la culture de cellules animales, mais aussi de protéines microbiennes ou fongiques A contrario, l'Observatoire national de l'alimentation végétale Onav regrette que le décret "place la France dans une position conservatrice, à contre-courant des enjeux actuels et de la politique européenne sur ces questions". Au sein de l'Union européenne, la dénomination des produits végétaux par des termes traditionnellement réservés à la viande animale est autorisée, à l'exception des produits à base de lait animal. Par exemple il n'est pas possible d'utiliser le mot "yaourt" ou "fromage" pour un simili végétal. 3/3 des aliments néfastes en termes de durabilité et à promouvoir les options saines et durables, il risque d’entraver et de retarder le développement de la filière végétale en France ainsi que la transition vers des alimentations plus saines et durables davantage végétales.— Observatoire national de l'alimentation végétale Obsvegetal June 30, 2022 jA0177V.