QuatriĂšmede couverture. Ă Evry puis de la Police Judiciaire d'Ajaccio Ă Versailles, de Bordeaux Ă Alger, l'apprentissage des bases de l'enquĂȘte aux affaires de terrorisme, braquages et assassinats jusqu'aux stups et son univers impitoyable, le Commandant de Police Cassiau-Haurie, toujours en activitĂ© a Ă©galement exercĂ© pour le compte du GIR
128 CopiĂ© Europe 1 avec AFP 20h16, le 08 avril 2022Au procĂšs du 13-Novembre, une tĂ©moin qualifiĂ©e de "providentielle", "Sonia", a racontĂ© vendredi comment elle avait, au pĂ©ril de sa vie, dĂ©noncĂ© Ă la police le chef opĂ©rationnel des attentats, un "sacrifice lourd" mais qu'elle "ne regrette pas". Son tĂ©moignage crucial avait permis de localiser Abdelhamid se souvient encore du "regard froid" et "inhumain" d'Abdelhamid Abaaoud au procĂšs du 13-Novembre, "Sonia" a racontĂ© vendredi comment elle avait, au pĂ©ril de sa vie, dĂ©noncĂ© Ă la police le chef opĂ©rationnel des attentats, un "sacrifice lourd" mais qu'elle "ne regrette pas". Visage floutĂ©, voix modifiĂ©e, c'est un spectre qui apparaĂźt sur les Ă©crans de la cour d'assises spĂ©ciale de tĂ©moignage a permis de localiser Abaaoud"Sonia" dit avoir "48 ans", ĂȘtre "agent". TĂ©moin protĂ©gĂ©, elle a changĂ© d'identitĂ© et de vie depuis son tĂ©moignage crucial, "providentiel" selon un enquĂȘteur, qui a permis de localiser Abdelhamid Abaaoud, en fuite aprĂšs avoir mitraillĂ© les terrasses parisiennes, et d'Ă©viter de nouveaux attentats. "Ennemi public numĂ©ro un", traquĂ©, le chef opĂ©rationnel des commandos de Paris et Saint-Denis sera tuĂ© dans un assaut policier le 18 novembre de six ans aprĂšs, "Sonia" dĂ©crit Ă la cour cette soirĂ©e, au surlendemain des attentats qui ont fait 130 morts, oĂč elle a croisĂ© la route d'Abdelhamid Abaaoud, terrĂ© dans un buisson Ă Aubervilliers, le long de l'autoroute A86. Elle accompagne une jeune femme paumĂ©e et instable qu'elle a pris sous son aile et qu'elle hĂ©berge, Hasna AĂŻt Boulahcen. Elle devait juste aller rĂ©cupĂ©rer "son cousin de 17 ans qui a des problĂšmes", mais se retrouve face Ă Abdelhamid Abaaoud, figure française du jihadisme censĂ©e ĂȘtre en Ă©tait lĂ "pour terminer ce qu'il a commencĂ©""Il est lĂ , en face de moi. ... Il m'a serrĂ© la main, ce que je regrette", dĂ©clare "Sonia", qui en fait encore "des cauchemars". Il se prĂ©sente, elle lui demande s'il a participĂ© aux attentats. "Il me rĂ©pond 'Ouais, les terrasses, c'est moi'", rapporte la tĂ©moin-clĂ©. Il assure "qu'il est lĂ pour terminer ce qu'il a commencĂ©"."Je lui dis qu'il a tuĂ© des innocents, que l'islam ce n'est pas ça", affirme la mĂšre de famille. Elle rentre chez elle et le lendemain, le 16 novembre, elle attend que Hasna AĂŻt Boulahcen quitte son domicile pour appeler le numĂ©ro vert mis en place par la police. "J'ai expliquĂ© qui j'avais rencontrĂ©, on ne m'a pas crue", dĂ©plore "Sonia".Une description dĂ©taillĂ©e d'AbaaoudElle est convoquĂ©e dans la soirĂ©e et livre beaucoup d'Ă©lĂ©ments, une description physique du jihadiste, le fait qu'il porte un blouson, un "bob couleur crĂšme" et des "baskets orange", repĂ©rĂ©es sur la vidĂ©osurveillance du mĂ©tro et seulement connues des enquĂȘteurs. Pour eux, "la prudence reste de mise", indique un commissaire Ă©galement entendu comme tĂ©moin vendredi, ancien adjoint Ă la sous-direction antiterroriste Sdat de la police Abdelhamid Abaaoud, "cible numĂ©ro une" du renseignement europĂ©en est bien en France, ce serait "un cataclysme", explique l'enquĂȘteur. Il se pourrait aussi que ce soit "un guet-apens de l'Etat islamique EI". Des surveillances se mettent en place, notamment Ă proximitĂ© du "buisson conspiratif" d'Aubervilliers, et "Sonia" continue de donner des informations Ă la police antiterroriste, obtenues de Hasna AĂŻt nouveaux attentats Ă©taient prĂ©vus quelques jours aprĂšsCette derniĂšre est mandatĂ©e pour trouver un logement Ă son cousin, et des "costumes" pour de nouveaux attentats prĂ©vus dans le quartier de la DĂ©fense, le 19 novembre, visant "un centre commercial, un commissariat". "Je n'aurais pas pu laisser faire ça", souligne "Sonia" d'une voix mĂ©tallique. Le 18 novembre 2015 avant l'aube, le Raid lance l'assaut dans l'appartement de Saint-Denis oĂč Abdelhamid Abaaoud s'est retranchĂ© avec son complice Chakib Akrouh, autre survivant du commando des terrasses, et Hasna AĂŻt Boulahcen. Tous trois dĂ©cĂšdent."Sonia" passe elle "quarante-huit heures en garde Ă vue". Puis elle est remise en libertĂ© et sera prise en charge par un service spĂ©cialisĂ© du ministĂšre de l'IntĂ©rieur. En fĂ©vrier 2016, elle avait donnĂ© une interview dans laquelle elle se disait "abandonnĂ©e" par l'Etat. Elle a bĂ©nĂ©ficiĂ© quelques mois plus tard d'un nouveau statut, devenant la premiĂšre "tĂ©moin protĂ©gĂ©e" en France. Son tĂ©moignage lui a "coĂ»tĂ© cher, trĂšs cher", aussi bien pour elle que pour ses enfants et son compagnon, dit-elle Ă la cour. "C'est un sacrifice qui est lourd", mais "je ne regrette pas ce que j'ai fait, je ne le regretterai jamais". Avant de suspendre l'audience, le prĂ©sident de la cour, Jean-Louis PĂ©riĂšs, "salue son geste courageux". "Ăa a permis d'Ă©viter d'autres attentats", pointe le magistrat.
TĂ©moignages: 4 Ă©lĂšves racontent Auschwitz. Le 31 mars dernier, deux Ă©lĂšves-commissaires effectuaient une restitution devant leurs camarades de promotion de leur voyage Ă Auschwitz. Dans quelques semaines, ce sera au tour des Ă©lĂšves-lieutenants de se livrer au mĂȘme exercice. Une dĂ©lĂ©gation reprĂ©sentative de l'ensemble des corps
Bernard Petit, l'ex-patron de la PJ se raconte dans un livre entre polar et tĂ©moignage 000828 L'ancien patron de la Police judiciaire parisienne, Bernard Petit, passe Ă table. Il publie Secrets de flic. Pendant 40 ans, il s'est battu contre le crime organisĂ©, mais en fĂ©vrier 2015 il est tombĂ© pour une affaire de violation du secret de l'instruction. Accusation qu'il dĂ©ment. Le parquet vient de demander son renvoi devant le tribunal correctionnel. Ce livre, Bernard Petit l'a Ă©crit dâabord pour "laver son honneur", mais aussi parce qu'il avait "besoin de raconter". Au fil des pages, l'ancien flic n'Ă©pargne personne, ni Ă gauche ni Ă droite, et cible Ă©galement les rĂ©seaux sarkozystes. Toutefois, hors de question de parler d'un livre oĂč il balance. "C'est un livre, si on prend le temps de le lire, qui est sans amertume et sans vengeance. C'est un livre qui raconte la vie d'un flic". Entre polar et tĂ©moignage, Bernard Petit raconte d'abord son ascension dans la police, lui qui au dĂ©part ne souhaitait pas ĂȘtre flic et qui a fini par gravir tous les Ă©chelons, jusqu'Ă devenir patron du 36 quai des OrfĂšvres. Je ne crois pas ĂȘtre un homme de rĂ©seaux Bernard Petit Dans les portraits qui lui sont consacrĂ©s, il est dĂ©peint comme "un tueur, un homme de rĂ©seaux, voire mĂȘme franc-maçon". Des qualificatifs qui n'illustrent pas la rĂ©alitĂ© pour Bernard Petit. "Beaucoup de choses ont Ă©tĂ© dites et beaucoup de choses fausses. Je ne crois pas ĂȘtre un homme de rĂ©seaux. Ăa me parait une Ă©vidence. La preuve c'est que quand il m'est arrivĂ© ce qui m'est arrivĂ© j'Ă©tais tout seul et je n'ai pas eu de rĂ©seau qui est venu Ă mon secours", explique-t-il sur RTL. LâactualitĂ© par la rĂ©daction de RTL dans votre boĂźte mail. GrĂące Ă votre compte RTL abonnez-vous Ă la newsletter RTL info pour suivre toute l'actualitĂ© au quotidien Sâabonner Ă la Newsletter RTL Info
Lest We Forget" : 42 survivants de la Shoah livrent leurs témoignages à travers des portraits exposés à Paris shoah Suivre ce thÚme thÚme suivi Du 9 juillet au 7 août 2022, les grilles du jardin du Luxembourg donnent à voir 42 portraits photographiques de survivants de la Shoah avec l'exposition "Lest We Forget - N'oublions pas".
Un ancien garde de camp de concentration, jugĂ© en Allemagne pour complicitĂ© de centaines de meurtres, a prĂ©vu de tĂ©moigner ce mardi devant la cour, une dĂ©position rare lors dâun des derniers procĂšs du nazisme. Les tĂ©moignages de gardes de camps de concentration ou dâextermination sont chose rare tant les procĂšs du nazisme et de ses rouages ont Ă©tĂ© peu nombreux. PHOTO AFP - AFP LâaccusĂ©, un ex-SS de 94 ans, a servi entre juin 1942 et septembre 1944 au camp de Stutthof, prĂšs de Gdansk en Pologne, oĂč quelque 65 000 personnes ont Ă©tĂ© tuĂ©es, essentiellement des femmes juives des pays baltes et de Pologne. JugĂ© en tant que mineur car ĂągĂ© de moins de 21 ans au moment des faits, son nom nâa pas Ă©tĂ© communiquĂ© par le tribunal de MĂŒnster. La presse allemande lâa identifiĂ© comme un paysagiste Ă la retraite prĂ©nommĂ© Johann. Son tĂ©moignage est dâautant plus attendu que le vieil homme, venu en fauteuil roulant Ă lâouverture de son procĂšs le 6 novembre, a pleurĂ© en Ă©coutant sâexprimer Ă la barre des victimes du camp de Stutthof. Son avocat nâa donnĂ© aucune indication sur les rĂ©ponses que son client compte apporter. Selon le quotidien Die Welt, en aoĂ»t 2017, il avait niĂ© face Ă la police avoir su que des atrocitĂ©s Ă©taient commises, affirmant que les soldats souffraient eux aussi du manque de nourriture. Les tĂ©moignages de gardes de camps de concentration ou dâextermination sont chose rare tant les procĂšs du nazisme et de ses rouages ont Ă©tĂ© peu nombreux. Au cours des rĂ©cents procĂšs, seulement deux accusĂ©s se sont exprimĂ©s publiquement, dont un longuement lâancien SS Oskar Gröning, surnommĂ© le comptable dâAuschwitz», qui avait demandĂ© pardon» en 2015 et reconnu sa faute morale». CondamnĂ© Ă quatre ans de prison pour complicitĂ© dans la mort de 300 000 Juifs, il est mort en mars dernier sans avoir purgĂ© sa peine. Jugement tardif Un autre ex-SS dâAuschwitz, Reinhold Hanning, avait lors de son procĂšs en 2016 exprimĂ© sa honte» dâavoir laissĂ© cette injustice se produire et de ne rien avoir fait pour lâempĂȘcher» et avait reconnu savoir que les dĂ©portĂ©s Ă©taient abattus, gazĂ©s et brĂ»lĂ©s». Mais il se posait en spectateur et non en acteur de lâHolocauste, avait dĂ©noncĂ© Ă lâĂ©poque le ComitĂ© international dâAuschwitz. Il nâa pas Ă©tĂ© incarcĂ©rĂ©, malgrĂ© une peine de 5 ans de dĂ©tention. Dâune maniĂšre gĂ©nĂ©rale, la justice allemande reste critiquĂ©e pour son traitement tardif et insuffisant des crimes du IIIe Reich. Elle a attendu 2011, avec le procĂšs de lâex-garde de Sobibor John Demjanjuk, pour poursuivre toutes les anciennes sentinelles de camps dâextermination pour complicitĂ© de meurtre», quelle que soit leur conduite individuelle. Ces anciens gardes sont dĂ©sormais considĂ©rĂ©s comme les rouages dâune machine de mort». Ainsi, selon lâacte dâaccusation, lâex-SS du Stutthof avait connaissance de toutes les mĂ©thodes pour tuer» et a dĂ©libĂ©rĂ©ment approuvĂ© les meurtres de centaines de personnes» mĂȘme sâil nây a pas participĂ© directement. Dans tous les rĂ©cents procĂšs, les accusĂ©s occupaient de telles positions subalternes. Aucun nâest allĂ© en prison grĂące Ă des recours ou en raison de leur Ă©tat de santĂ©. Quatorze audiences sont prĂ©vues jusquâen janvier Ă MĂŒnster pour juger lâex-garde de Stutthof. Elles seront limitĂ©es Ă deux heures chacune afin de mĂ©nager le nonagĂ©naire. A lâorigine, un second ex-garde SS de 93 ans aurait dĂ» comparaĂźtre mais son aptitude fait encore lâobjet dâexpertises.
Adosséà un mur, le policier a fait feu deux fois pour neutraliser le tueur.L'enquĂȘte sur l'attaque Ă la prĂ©fecture de police Ă Paris se poursuit. Objectif :
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Maisen cours de chemin, la Police aurait, selon le mĂȘme tĂ©moignage, arrĂȘtĂ© les trois accompagnateurs de sa fille. Par la suite, les Forces de lâordre les auraient embarquĂ©s immĂ©diatement vers un poste de police pour les y placer en garde Ă vue. Et quâon ne leur rendra la libertĂ© sous peine dâun paiement dâune caution de 20 000 ariary.
Il y a eu "au moins dix coups de feu", assure sur RTL l'un des passagers Ă l'arriĂšre du vĂ©hicule ayant refusĂ© d'obtempĂ©rer samedi dans le XIIIe arrondissement. Philippe Lopez / AFP Une patrouille de policiers Ă vĂ©lo dans Paris, en mars 2020. photo d'illustration Philippe Lopez / AFP PARIS - Câest un tĂ©moignage inĂ©dit. AprĂšs le contrĂŽle au cours duquel un conducteur a Ă©tĂ© griĂšvement blessĂ© et une passagĂšre tuĂ©e par des tirs policiers samedi Ă Paris, un passager arriĂšre de la voiture contrĂŽlĂ©e sâest exprimĂ© sur RTL ce lundi 6 juin. âOn Ă©tait Ă un feu rouge et un policier Ă vĂ©lo est venu taper Ă la vitre du conducteur pour lui demander de se mettre sur le cĂŽtĂ© pour un contrĂŽleâ, raconte Ibrahima, qui se trouvait sur la banquette arriĂšre. âMon ami a bougĂ© la tĂȘte comme sâil disait oui, je vais me mettre sur le cĂŽtĂ©â, a avancĂ© un peu et ne sâest pas arrĂȘtĂ©â, poursuit-il. Le vĂ©hicule se retrouve alors arrĂȘtĂ© un peu plus loin Ă cause du trafic. Si bien que les policiers rĂ©ussissent Ă le rattraper. âIls sont revenus Ă cĂŽtĂ© de nous et nous ont braquĂ©s directementâ, assure le passager sur RTL, alors que les policiers demandent au conducteur de sortir du vĂ©hicule. âMon ami nâa pas osĂ© regarder du cĂŽtĂ© gauche, il a regardĂ© du cĂŽtĂ© droit et a fait comme sâil ne les voyait pasâ, enchaĂźne Ibrahima, qui assure que le conducteur ânâa percutĂ© aucun policierâ, la voiture Ă©tant selon lui Ă lâarrĂȘt. âOn disait au conducteur gare-toi, sorsâ, mais il ne voulait pas regarder le policier. ... AprĂšs, moi jâai vu, ils les policiers Ă©taient trop en train de trembler ... avec leurs pistoletsâ, tĂ©moigne-t-il. âOn Ă©tait tous en panique, on a tous criĂ©, moi jâai criĂ© baissez-vous, baissez-vous!â. AprĂšs on a entendu que les coups de feu, les vitres qui pĂštent, au moins dix coups de feu.â âAprĂšs ça, nous sommes sortis de la voiture et avons vu que la fille devant Ă©tait pleine de sang, inconscienteâ, continue Ibrahima, Ă propos de la passagĂšre avant, qui est dĂ©cĂ©dĂ©e dimanche des suites de ses blessures. Sur le moment, les policiers lui prodiguent un massage cardiaque, en vain. âPourquoi ils ont tirĂ© dans la tĂȘte de la fille?â, se demande Ibrahima. âOn connaĂźt des histoires pour de vraies choses, la personne qui aurait essayĂ© de foncer dedans, qui aurait mis les gens en danger. Mais il nây avait rien de tout çaâ, assure encore Ibrahima au micro de RTL. Une vidĂ©o existe, selon lâavocat des policiers InvitĂ© sur le plateau de BFMTV ce lundi soir, lâavocat des trois policiers, Laurent-Franck LiĂ©nard, a lui livrĂ© une version bien diffĂ©rente du passager de la voiture. Les trois policiers âont Ă©tĂ© dans une situation trĂšs dramatique, oĂč leur vie Ă©tait vĂ©ritablement en danger, oĂč ils ont dĂ» faire usage de leur arme, ce qui est vraiment lâultime recours policierâ, raconte-t-il. âVous savez, câest la premiĂšre fois quâils tiraient, les trois. Câest un trĂšs grand moment de solitude pour un policier qui se retrouve avec lâarme Ă la main, et qui est obligĂ© dâappliquer des tirs sur quelquâun. Donc ils ont Ă©tĂ© contraints de le faire ... et ils nâen dĂ©mordent pasâ, continue lâavocat. âIls disent âsi nous nâavions pas tirĂ©, il y aurait eu de toute façon des blessures graves voire des morts dans nos rangsâ. Face Ă cette Ă©quation, ils ont dĂ©cidĂ© de tirer.â âOn a des tĂ©moignages et il y a une vidĂ©oâ, assure encore Laurent-Franck LiĂ©nard, qui indique quâil a pu voir les images dans le cadre de la garde Ă vue, mais quâil ne peut en dire davantage. âLâissue judiciaire de cette affaire, ce ne sera pas demain, ce sera dans deux ans ou dans cinq ansâ, prĂ©vient-il. Le conducteur briĂšvement placĂ© en garde Ă vue Le conducteur soupçonnĂ© dâavoir refusĂ© dâobtempĂ©rer lors du contrĂŽle a Ă©tĂ© trĂšs briĂšvement placĂ© ce lundi en garde Ă vue pour âtentative dâhomicide sur personne dĂ©positaire de lâautoritĂ© publiqueâ, selon le parquet de Paris. Sa garde Ă vue Ă lâhĂŽpital en dĂ©but dâaprĂšs-midi a Ă©tĂ© levĂ©e peu de temps aprĂšs, lâhomme de 38 ans nâĂ©tant finalement pas en Ă©tat dâĂȘtre entendu Ă ce stade, selon la mĂȘme source. Il a Ă©tĂ© griĂšvement blessĂ© par balle au niveau du thorax par des tirs des policiers. ParallĂšlement, la garde Ă vue entamĂ©e dimanche dans les locaux de lâInspection gĂ©nĂ©rale de la police nationale IGPN des trois policiers, deux hommes et une femme qui auraient tirĂ© sur le vĂ©hicule, a Ă©tĂ© prolongĂ©e ce lundi, selon le parquet. Ils sont entendus pour âviolences ayant entraĂźnĂ© une ITT interruption totale de travail de plus de 8 jours avec arme par personne dĂ©positaire de lâautoritĂ© publiqueâ et dĂ©sormais Ă©galement pour âviolences ayant entraĂźnĂ© la mort sans intention de la donner par personne dĂ©positaire de lâautoritĂ© publiqueâ. La mesure de garde Ă vue a Ă©tĂ© prise âen raison de la gravitĂ© des consĂ©quences des tirs rĂ©alisĂ©s et afin de vĂ©rifier les conditions dâusages de leurs armes par les intĂ©ressĂ©sâ, selon le parquet. Le contrĂŽle sâest dĂ©roulĂ© samedi en fin de matinĂ©e dans le XVIIIe arrondissement, dans le nord de la capitale. Des fonctionnaires Ă VTT ont dâabord remarquĂ© âune voiture avec quatre passagers dont lâun ne portait pas sa ceinture de sĂ©curitĂ©â, avait relatĂ© samedi une source policiĂšre. Alors quâils sâen approchent, la voiture âprend la fuite Ă trĂšs vive allureâ. Un peu plus loin, alors que les policiers tentent Ă nouveau de le contrĂŽler, le conducteur dĂ©marre et âfonce sur lâĂ©quipage de policiers Ă VTTâ, selon le rĂ©cit de la police. Les fonctionnaires âfont alors usage de leurs armesâ Ă plusieurs reprises et blessent gravement âle conducteur et le passagerâ Ă lâavant, transportĂ©s Ă lâhĂŽpital, selon la source policiĂšre, tandis que les deux passagers Ă lâarriĂšre nâont pas Ă©tĂ© blessĂ©s. Ă voir Ă©galement sur Le HuffPost Ces supporters de Liverpool dĂ©goĂ»tĂ©s par le âdĂ©sastreâ au Stade de France
CodycrossLivrer son tĂ©moignage Ă la police Voici toutes les solution Livrer son tĂ©moignage Ă la police. CodyCross est un jeu addictif dĂ©veloppĂ© par Fanatee. Ătes-vous
Suite aux Ă©vĂ©nements qui ont eu lieu vendredi soir Ă Trappes, le collectif contre lâislamophobie en France CCIF publie le tĂ©moignage de la jeune mĂšre de famille, arrĂȘtĂ©e ainsi que son Ă©poux, aprĂšs un contrĂŽle de police qui a mal tournĂ©. Je fais appel Ă vous car jâai subi une injustice de la part de la police. Ils ont voulu nous contrĂŽler Ă cause de mon voile intĂ©gral. Comme dâhabitude, jâai coopĂ©rĂ©. Jâallais lever mon voile lorsque jâai vu lâun des agents pousser violemment ma mĂšre. Jâai dit aux autres agents de regarder ce qui se passait derriĂšre, que ça nâallait pas se passer comme ça, quâil ne fallait pas toucher Ă ma mĂšre qui nâa rien a voir avec le contrĂŽle, sachant que elle Ă©tait devant nous. Lâun des agents sâest alors Ă©nervĂ© sur mon mari, juste parce quâil a dit, Ă propos de ma maman Ne la touchez pas ! Pourquoi vous la touchez alors quâelle nâa rien Ă voir avec le contrĂŽle ? » Le policier a alors dit a mon mari, de maniĂšre trĂšs agressive et en bombant le torse Tu vas faire quoi ? ». Je me suis interposĂ©e entre eux pour ne pas que ça dĂ©gĂ©nĂšre. Une fois que le policier en a fini avec ma mĂšre, il vient vers moi et fait de grands gestes devant mon visage en me tenant un langage agressif. ApeurĂ©e, je lui ai demandĂ© de se taire. Il mâa alors attrapĂ©e par le voile au niveau de la tĂȘte et traĂźnĂ©e avec une force monstrueuse, avant de me plaquer sur le capot de la voiture en me criant Câest Ă moi que tu parles ? Câest Ă moi que tu parles, hein ? » Je me suis retournĂ©e, puis jâai aperçu mon mari maintenu Ă terre par deux policiers qui le menottaient. Une fois dans la voiture, ils nous criaient dessus comme si on Ă©tait des chiens. Ils menaçaient mon mari en disant Quâest-ce que tu vas faire maintenant pâtite tafiole, hein ? , tout cela avec les poings serrĂ©s et en donnant des coups, dans la voiture. Une fois arrivĂ©s au commissariat, les agents mâinsultent de fantĂŽme. Je ne cesse pas de demander Ă Dieu de lâaide contre cette violence. Le CCIF, qui dĂ©nonce la violence » et les provocations policiĂšres », annonce que lâĂ©poux de la jeune femme doit ĂȘtre jugĂ© en comparution immĂ©diate demain matin ». Confirmant une information que nous avons pu recueillir quelques heures aprĂšs les Ă©chauffourĂ©es, le CCIF prĂ©cise que plusieurs habitants de Trappes, qui sâĂ©taient rendues au commissariat pour tenter dâapaiser la situation ont Ă©tĂ© congĂ©diĂ©es sans mĂ©nagement ». Et dâappeler la police nationale Ă remplir sa mission de protection de la population plutĂŽt de lâagresser ». Appel Ă tĂ©moins Le CCIF lance un appel Ă tĂ©moins. Nous lançons Ă©galement un appel Ă tĂ©moins Si vous avez assistĂ© aux scĂšnes de violences ou si vous avez des informations vidĂ©os, tĂ©moignages, ⊠qui permettront de mettre en lumiĂšre les responsabilitĂ©s dans cette affaire, merci de nous Ă©crire Ă [email protected] afin que les agresseurs ne restent pas impunis et que la victime ne se retrouve pas, comme câest le cas dans plusieurs autres affaires oĂč la responsabilitĂ© de la police est en cause, sur le banc des accusĂ©s. »
jOs11. 08i2cain0b.pages.dev/25008i2cain0b.pages.dev/708i2cain0b.pages.dev/21908i2cain0b.pages.dev/7408i2cain0b.pages.dev/29708i2cain0b.pages.dev/26408i2cain0b.pages.dev/6508i2cain0b.pages.dev/25708i2cain0b.pages.dev/167
livrer son témoignage à la police