Laphoto d’elle, entourée de David Bowie et John Lennon, sans Simon et Garfunkel donc, a été mise en ligne en 2010 sur le site officiel de David Bowie, pour illustrer un
Relaxnews - Le biopic anglo-allemand "Lust for Life" reviendra sur la collaboration des deux stars à Berlin à la fin des années 70, ont annoncé les sociétés Altered Image et Egoli Tossell Film en prélude au Marché européen du film de la 63e ville allemande, coupée en deux à l'époque, servira d'écrin au récit centré sur la collaboration de deux des artistes musicaux parmi les plus célèbres de l'époque. Leur travail commun durant cette période a accouché de l'album "Low" pour l'anglais Bowie, et de "The Idiot" et "Lust for Life" pour l'américain Iggy suite après la publicité La réalisation de "Lust for Life" a été confiée à Gabriel Range, cinéaste anglais rendu célèbre par le faux documentaire "Death of a President" sur l'assassinat fictif de George W. Bush.
Larelation entre David Bowie et Susan Sarandon a eu lieu lorsqu’ils se sont rencontrés sur le tournage des « Prédateurs » en 1983, et aucun des deux n’en a jamais parlé. « C’est arrivé il y a longtemps quand Susan et David étaient jeunes et insouciants. Susan garde des souvenirs tendres de cette liaison, mais l’a gardée secrète au fil des ans », assure

C'est un été inoubliable. La France était en pleine canicule. De violents orages éclataient parfois. David Bowie était venu enregistrer avec son ami Iggy Pop deux albums appelés à devenir cultes, The Idiot et Low. C'était à quelques dizaines de kilomètres de Paris, au château d'Hérouville. Non loin de la tombe de Van Gogh, dans le Val-d'Oise, un artiste assailli de toutes parts était venu chercher un nouveau souffle."Tu vois, Jimmy, c'est le plus grand studio du monde."Quelques semaines plus tôt, Corinne Schwab, l'assistante de David Bowie, avait appelé le château pour savoir s'il était possible d'y séjourner. Son artiste, débarquant d'Amérique, n'osait même plus décrocher le téléphone. Cloîtrée au Plaza Athénée, l'idole fuyait fans et journalistes. "David a atterri au château à 4 heures du matin, se souvient Laurent Thibault, alors maître des lieux. Il a attendu que je finisse ma séance puis que mes clients soient partis pour, enfin, pénétrer dans le studio. Là, il s'est tourné vers Iggy et lui a dit 'Tu vois, Jimmy, c'est le plus grand studio du monde.'"David, Iggy et Zowie, le jeune fils de David, et ses deux nounous se sont reposés quelques jours. Puis le chanteur a annoncé qu'il reviendrait en juillet enregistrer avec Iggy Pop. David Bowie connaissait bien le château d'Hérouville. Trois ans plus tôt, sur les conseils de Marc Bolan du groupe T. Rex, qui, lui-même, tenait l'info d'Elton John, David Bowie y avait revisité les classiques rock de sa jeunesse à travers l'album Pin Ups. Il avait encore les cheveux orange en brosse, il sortait à peine de sa période Ziggy aussi Nirvana, Kanye West, Luc Besson... Ils ont été inspirés par David Bowie"Cette envie d'apprendre, de chercher, d'essayer""Les Anglais adoraient le château d'Hérouville, resitue le violoniste Michel Ripoche, seul musicien français crédité sur l'album Pin Ups. Ils pouvaient s'installer un mois en famille au grand air pour créer. C'était très insouciant." C'est dans cet esprit que le compositeur Michel Magne avait réaménagé dix ans plus tôt cet ancien relais de poste, qui jadis avait abrité les amours de George Sand et de Chopin. "En 1973, David Bowie rayonnait. Il avait une façon très particulière de vous regarder. C'est comme s'il scrutait directement votre cerveau. Il était habité du matin au soir. C'était très impressionnant. Et puis il ne quittait jamais son personnage. On le voyait jouer au baby-foot maquillé, en boots à plate-forme", relate l'ingénieur du son Dominique Blanc-Francard."C'était un type curieux dans tous les sens du terme, poursuit Michel Ripoche. Il observait sans cesse, parlant peu. Quand il prenait la parole, c'était de manière posée et courtoise, mais sachant se faire écouter. Tout l'intéressait. Si je lui avais laissé mon violon, il s'y serait mis. Il me demandait de lui jouer du Mozart. Il avait toujours cette envie d'apprendre, de chercher, d'essayer." Il arrivait à Michel Ripoche, comme à Andy Scott, assistant ingénieur du son, d'emmener la star se distraire à Paris, au Malibu ou chez Castel . C'était cool, personne ne le dérangeait et souvent, au petit matin, Bowie rentrait par ses propres moyens. Trois quarts d'heure par les petites routes!En juillet 1976, ce n'est plus la même musique. L'homme qui jusque-là se contentait de fumer et de boire un verre de rouge, est pris dans la spirale de la drogue. Il est lessivé, l'Amérique l'a épuisé. Tournées incessantes, deux albums parfois dans la même année avec autant de personnages à endosser David Bowie n'est plus que l'ombre du chanteur flamboyant qu'il a été. Il apparaît en veston et cheveux gominés, à la manière d'une star de l'entre-deux-guerres. David Bowie a 29 ans, il a déjà plusieurs vies derrière aussi David Bowie à travers ses mille personnagesDavid est le prince, Iggy le voyouLe château d'Hérouville a été repris au printemps 1974 par un jeune bassiste, Laurent Thibault. David Bowie lui fait part de son intérêt pour la nouvelle scène musicale allemande. Malgré la chaleur de l'été 1976, ils se mettent aussitôt au travail. C'est du non-stop, quinze à dix-sept heures par jour. Quand Iggy va se coucher, c'est David qui prend la relève. Les deux amis se noient dans le Pop sort d'une année en hôpital psychiatrique et David mène plusieurs chantiers de front. Entre deux allers-retours entre Paris, Berlin et la Suisse, il tente de décrocher de son addiction à la cocaïne, de se séparer de la mère de son fils Zowie et de s'extirper des griffes de son manager. "David dormait très peu. Il semblait un peu déprimé, relate Laurent Thibault. C'est le sens de Low, l'album qu'il enregistrera en septembre 1976. Heureusement, il y avait son fils, c'était un rayon de soleil. Il le retrouvait le soir pour le dîner. À ses côtés, David avait la même façon d'observer, de lui mettre non pas des épreuves mais des petites choses qui lui permettaient d'interagir. David n'a jamais été un manipulateur mais quelqu'un qui amenait les gens à se dévoiler.""L'un n'allait pas sans l'autre"Dans le parc du château, le petit Zowie, 5 ans, joue avec un autre garçon de son âge. Kên est le fils de Kuêlan Nguyen, une jeune Vietnamienne venue en France après Diên Biên Phu et qui vivait avec son compagnon de l'époque, Jacques Higelin, dans une bergerie attenante au château d'Hérouville. Comme David Bowie, Iggy Pop est fasciné par cette jeune femme. À son contact, David et Iggy lisent Dostoïevski, s'identifient aux personnages de L'Idiot ; David est le prince, Iggy le voyou, ils s'échangent régulièrement leurs croix."Ils étaient comme les deux faces d'une même pièce, des personnalités totalement opposées mais se comprenant à demi-mot, explique Kuêlan. L'un n'allait pas sans l'autre. David était capable d'oublier son ego pour aider Iggy. De mon côté, je découvrais avec David un homme qui avait délaissé tous ses atours. Il n'avait plus de maquillage, plus de personnage, plus de paillettes, il était pour ainsi dire nu. C'est ainsi que je l'ai regardé, comme un homme, et je crois que ça lui a fait du bien."Lire le témoigne de Kuêlan Nguyen "David m'a embrassée. Il était beau, j'ai pris peur..." Un soir, Iggy Pop reprend une chanson qu'il a écrite avec David. Borderline devient China Girl. À la sortie de l'album The Idiot, en 1977, cette première version de China Girl passera inaperçue. Il faudra attendre que David la reprenne à son compte, six ans plus tard, pour qu'elle devienne un tube planétaire. Cette chanson l'installe à jamais dans le Girl, de David Bowie. L'histoire aurait pu en rester là. Mais en 2013, alors qu'il rompt dix ans d'absence musicale , David Bowie, 66 ans, choisit d'évoquer cette période de mue à travers sa chanson du retour, Where Are We Now? "Où en sommes-nous?" Une question autant qu'un message subliminal adressé à sa China Girl. "C'était comme si nous reprenions la discussion là où nous l'avions laissée, estime Kuêlan. Aucun de nous n'a oublié ce qui s'est passé cet été-là au château."Cette semaine, Paris Match et L'Obs ont publié en couverture la même photo célèbre de David Bowie, un doigt sur ses lèvres, comme pour dire "chut". C'était le geste qu'affectionnait Kuêlan durant "cet été-là".Source JDD papier

44photos et images de David Bowie Iggy Pop - Getty Images. IMAGES CRÉATIVES. Collections. Projet #MontrezNous. Creative Insights. Custom Content. PHOTOS D’ACTUALITÉS. VIDÉOS. BBC Motion Gallery.

Première rencontre Leur toute première rencontre a lieu en 1971. David Bowie est déjà une célébrité de la pop, en passe de devenir la star internationale que l'on connaîtra quelques années plus tard. Iggy Pop est quant à lui le leader déjanté des Stooges. A cette époque, sa notoriété est grandissante dans le monde confidentiel de l’underground. Iggy Pop ne connait pas David Bowie. Même le nom ne lui parle pas. David Bowie est déjà fan d’Iggy Pop et de son groupe. 155 de la Hauptstraße, Shoneberg A la séparation des Stooges, Iggy Pop sombre petit à petit dans la déchéance, la drogue. C'est pour lui le début d'une descente aux enfers. Jusqu’à l’internement en hôpital psychiatrique à Los Angeles à la suite de ses virées trop "excessives". Son acolyte David Bowie sera son seul visiteur. Son premier soutien. David Bowie le prend alors sous son aile et l’emmène dans sa tournée "Station to Station". En 1976, ils s’installent ensemble au 155 de la Hauptstraße, Shoneberg, à Berlin, pour composer. Les prémices des succès que nous connaissons aujourd'hui. "Ce type m'a sauvé de l'anéantissement professionnel et peut-être même personnel" "Ce type m'a sauvé de l'anéantissement professionnel et peut-être même personnel". Ce sont les paroles qu’Iggy Pop prononcera pour son sauveur, l'icône David Bowie. Il lui est largement redevable. En produisant les deux premiers albums solos – "The Idiot" et "Lust for Life" – d’Iggy Pop, David Bowie l’a littéralement ressuscité.

Lagalerie parisienne Stardust exposait en mai 2015 une vingtaine de clichés de David Bowie réalisés par l'un de ses photographes fétiches, le Japonais Masayoshi Sukita. Ce dernier, commentait

David Bowie a un style, une voix et un talent qui ont su toucher un grand public de fans dans le monde entier. David Robert Jones voit le jour le 8 janvier 1947 dans la banlieue londonienne de Brixton. Dès l’adolescence, David se produit avec plusieurs groupes. Il faut attendre 1964 pour écouter son premier 45 tours, Liza Jane. Son nom de scène de l’époque est Davie Jones. Il... lire la bio

DavidBowie en 1975, génie du rock, de la pop et de tant d’autres choses (Photo DR Bowie75.com) Ça déferle, donc, et ça risque de continuer, en attendant l’arrivée des hologrammes, déjà annoncés. Prochain épisode de ces mémoires d’outre-tombe pop-rock, Heroes Bowie Berlin 1976-80, un spectacle qui sera donné à travers le monde post

En 1977, Iggy Pop et David Bowie balancent le second album du diptyque The Idiot / Lust for Life. Iggy Pop reprend la main sur cet opus, délaissant les expérimentations du premier album imposées par Bowie et laisse sortir l’Iguane assoupie par toutes ces années d’excès et de lassitude. Le Post-Punk de The Idiot laisse place à un Rock solaire, fin et racé. Une véritable résurrection pour celui qui est mort des dizaines de fois. Un souffle nouveau dans l’immense et chaotique carrière d’Iggy Pop. A peine six mois après la sortie du sublime et visionnaire The Idiot annonçant ce Post-Punk dépressif et glacial, le duo David Bowie / Iggy Pop retourne s’enfermer en studio. C’est dans ce Berlin coupé en deux, ce Berlin froid et anxiogène qui marquera le travail du Thin White Duke et l’histoire du Rock par la même occasion, que nos deux comparses décident de continuer de battre le fer pendant qu’il est encore chaud. C’est une résurrection pour l’Iguane que cette année 1977. La fin des Stooges, l’addiction gloutonne aux drogues dures le laisse sur le bord du chemin. Iggy s’enfonce dans la dépression et l’enfer de la came jusqu’aux balloches. Les concerts se transforment en happenings permanents où le peu de public qu’il lui reste vient se repaître des outrances de la bête. Scarification au tesson de bouteille de bière, pétage de chicots dans une baston contre des surfers beaucoup moins cool, apparemment, que les connards enfumés de Point Break. Les lâchers de queue de renard fleurant bon le hot-dog périmé et la bière chaude et l’exhibitionnisme public outrageant, à base de zboub hypertrophié se balançant lourdement au son d’un Gimme danger humide devant un public médusé et empreint d’un voyeurisme morbide, deviennent le lot quotidien des excès scéniques reptilien. La descente aux enfers continue pour l’iguane qui finira dans la rue à pieuter sous des cartons avant de se faire interner en désintox puis en psychiatrie filant des coups de boule dans les murs capitonnés de sa cellule toute blanche. C’est donc une loque, un demi-fou que Bowie récupère à la petite cuillère devant la porte de son hôpital psychiatrique. Le Thin White Duke traîne l’Iguane sur sa tournée Station to station et décide de poser ses valoches ainsi que la carcasse opiacée du Stooge à Berlin. Les deux compères se foutent autour d’une table, mêlent leurs nombreuses addictions mortifères, leurs univers diamétralement opposés et leur créativité débridée et balancent deux albums mythiques en l’espace de six mois sans compter les albums du Duke himself Low et Heroes. Quatre chef d’oeuvre en l’espace d’un an et demi pour Bowie en pleine effervescence créative en cette année 1977. C’est le ténébreux et “glauquissime” The idiot qui ouvrira le diptyque Berlinois du Pop et tracera avec Low et Heroes à coups de synthé glacial et de basse bourbeuse ce chemin sale et mal éclairé qui mènera au Post-Punk, puis à sa petite cousine bien coiffée La New Wave. Six mois plus tard les deux amis remettent le couvert avec le solide Lust For Life. Pour le deuxième volet du diptyque, Iggy semble avoir repris la main sur les expérimentations synthétiques et l’ombre trop envahissante du Duke. Toutes les chansons restent coécrites par les deux amis mais l’Iguane se sent mieux et son “Mojo” Rock’n’Roll est retourné bien au chaud au fond de son slip. Les titres s’habillent à nouveau de cuir et Iggy semble renaître encore une fois en enfilant ce vieux perf’ râpeux sur les épaules. C’est aussi l’album de la respiration, là où The Idiot enfermait l’auditeur dans un son lourd, collant, industriel et une prod’ hésitante parce qu’innovante. Lust For Life retrouve les fondamentaux Rock, une énergie Punk adolescente et les bénéfices d’une production plus travaillée et d’un son plus clair, plus sain. David Bowie laisse son ami reprendre des forces, redéployer ses ailes fragiles, l’accompagnant comme un grand frère Il fera les claviers et les chœurs de l’album, lui prêtant ses musiciens Carlos Alomar notamment, libérant l’Iguane du carcan Post-Punk dans lequel il ne se plaisait pas vraiment. Au final, Iggy nous gratifie d’un album au croisement de nombreux genres, ces chemins tortueux que Bowie et lui défrichèrent à la force du poignet. Des très Punk et “Fuck attitude” Lust For Life et cet intro de batterie légendaire ou Sweet Sixteen. Du Bluesy Turn Blue au Tonight ou Fall in love with me et leur Soul cradingue et désarticulée. Jusqu’au sommet de l’album et de la carrière solo de l’Iguane le somptueux Passenger. Balade Folk crasseuse et malsaine, à la rythmique entêtante. Un album qui ne dépareille pas dans cette vague Punk qu’il contribua à créer avec ses Stooges presque dix ans avant, et qui permet au “Godfather of Punk” de reprendre du service. Iggy à l’image de cette pochette où il nous gratifie d’un superbe sourire, d’un visage serein et apaisé, est revenu des enfers où il s’était perdu, se brûlant le corps et l’âme pour avoir tutoyé le diable et tenté de lui foutre la main au cul. Il est pourtant revenu victorieux de cette lutte contre ses propres démons, tel un Hercule en jean moulant terrassant le Cerbère des addictions avec pour seule arme un sourire radieux, un album efficace et libérateur, et une étincelle nouvelle au fond des yeux. Il est revenu. Il a vaincu. Il est vivant à nouveau. Renaud ZBN Iggy Pop – Lust for Life est sorti le 29 août 1977 sur RCA Records.
QuandDavid Bowie fumait de la weed avec Iggy Pop. Suite au décès du légendaire artiste à l'age de 69 ans, les hommages se succèdent.partout dans le monde. Voici l'occasion de se rappeler certaines anecdotes comme cette arrestation de David Bowie avec Iggy Pop (pas encore très connu à l'époque) et deux autres personnes en 1976 à
Décédé le 27 octobre, Lou Reed a non seulement inspiré toute une lignée de musiciens mais aussi de réalisateurs, qui ont puisé dans le stupéfiant répertoire de l’ancien membre du Velvet Underground pour enrichir leur cinéma. Extraits. Icône de la musique américaine, Lewis Allan Reed, décédé le 27 octobre sur l'île de Long Island, près de New York, à l’âge de 71 ans, laisse derrière lui de nombreuses chansons devenues au fil des années des standards du rock. Le répertoire de celui que l’on surnommait le "Prince de la nuit et des angoisses" constitue à lui seul la radiographie d’une génération en proie au mal-être, aux désillusions et profondément marquée par le sexe, l’amour, la drogue et l’amour de la de thèmes dont le cinéma se fait régulièrement le miel. Si, à l’inverse de ses comparses David Bowie et Iggy Pop, l’ancien guitariste du Velvet Underground n’a fait que très peu d’apparitions sur le grand écran, ses titres ont, eux, accompagné pléthore de films. David Lynch, Wim Wenders, Wes Anderson, Oliver Stone ou encore Michel Gondry, pour ne citer qu’eux, ont agrémenté quelques-uns de leur long-métrage de chansons de Lou Reed. Extraits."Perfect Day" - Trainspotting 1996Chanson dont on ne sait si elle est une déclaration d’amour adressée à une femme ou à une quelconque substance stupéfiante, "Perfect Day" accompagne la descente aux enfers opiacés du jeune Écossais héroïnomane Mark "Rent Boy" Ewan McGregor dans "Trainspotting" de Danny Boyle. Un titre parfait pour illustrer l’ambivalence de l’héroïne, drogue dont Lou Reed a plus d’une fois chanté les effets aussi libérateurs qu’aliénants."This Magic Moment" - Lost Highway 1997Film à la frontière du rêve et de la réalité, "Lost Highway" de David Lynch pouvait-il se passer du chanteur de "Walk on the wild side" ? Ce ne sont certes ici ni les mots ni la musique de Lou Reed - "This Magic Moment" est une reprise d’un standard du rock des années 1960 -, mais sa voix seule suffit à transcender l’univers onirique et expérimental du réalisateur américain. Magique, effectivement."Satellite of Love" - Velvet Goldmine" 1998Le glam-rock méritait bien un film. Dans "Velvet Goldmine", le réalisateur Todd Haynes s’inspire librement de la vie de David Bowie, Marc Bolan et Iggy Pop pour revenir sur cette époque délurée de la musique anglo-saxonne. "Satellite of Love" de Lou Reed, dont la carrière solo fut mise sur orbite par David Bowie, avait donc toute sa place parmi les étoiles de la nuit qui habitent le film."Stephanie Says" - La Famille Tenenbaum 2001Cinéaste connu pour apporter un grand soin aux bandes originales de ses films, Wes Anderson s’est discrètement offert les services de Lou Reed pour "La Famille Tenenbaum", son troisième film. Avec "Stephanie Says", titre du Velvet Underground, le réalisateur texan ne pouvait trouver meilleure illustration de son cinéma d’auteur soigné et soyeux du velours pour les yeux et les oreilles."Si loin, si proche" 1993Présenté comme une suite des "Ailes du désir", "Si loin, si proche" de Wim Wenders est l’un des rares films dans lequel Lou Reed fait une apparition. Il y joue son propre rôle, en plein processus de création dans cette ville de Berlin dont il a emprunté le nom pour l’un ses albums phares. Précieux témoignage d’un énigmatique et distant artiste dont on connaît pourtant si bien les chansons. Lou Reed, si loin, si proche.
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IggyPop-David Bowie: le feu et la glace. Par Olivier Nuc. Publié le 22/06/2020 à 16:54, Mis à jour le 22/06/2020 à 17:06. Crooner gothique, jeannegrlt jeannegrlt May 2022 0 21 Report Cette photo de David Bowie et Iggy Pop a beaucoup circulé sur le web. Il s'agit en fait d'un photo-montage, leurs visages ayant été ajoutés. Qui sont les 2 artistes dans la photo originale? Please enter comments Please enter your name. Please enter the correct email address. Agree to terms and service You must agree before submitting. More Questions From This User See All jeannegrlt 5 weeks ago 0 Respostas Responda jeannegrlt last month 0 Respostas Responda jeannegrlt May 2022 0 Respostas Responda jeannegrlt April 2022 0 Respostas Responda jeannegrlt May 2021 0 Respostas Responda jeannegrlt December 2020 0 Respostas Responda jeannegrlt December 2020 0 Respostas Responda jeannegrlt December 2020 0 Respostas Responda jeannegrlt December 2020 0 Respostas Responda jeannegrlt December 2020 0 Respostas Responda
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